LA NAISSANCE D’UNE PERLE

Dans la nature la provocation de nacre est activée par un petit corps étranger qui est entré dans la coquille d’une huitre perlière.  Comme les perles naturelles sont très rares et difficiles à récolter, le principe est développé d’introduire une greffe artificielle dans l’huitre.

Un noyau, qui d’habitude est composé de la matière d’autres coquilles, est introduit dans une huitre, ensemble avec un morceau  de tissus d’une autre huitre. Ainsi, le processus de la provocation de nacre est activé et autour du noyau, dans le sac perlier, se forme couche par couche la perle.

Après un délai, qui varie entre les 2 et les 5 ans, on peut récolter les perles.  Le résultat sont des perles qui seront assortis avec d’autres, sur taille, qualité et couleur pour ainsi former les colliers.

La valeur d’un rang de perles est déterminée par aussi-bien la qualité et la couleur des perles individuelles, que par la sélection dans l’ensemble.  Le lustre, la pureté et la forme des perles sont les critères les plus importants.  Les perles parfaitement rondes , sans impuretés visibles sont bien évident les plus couteuses.  La couleur est très personnelle, mais en général le blanc-rosé ou le blanc-argenté est le plus apprécié.

A part des perles rondes on a aussi les perles en forme de poire ou en goutte.  Celle-ci sont le plus utilisées dans la création de bijoux.  Des variétés moins rondes ou irrégulières permettent d’assortir des colliers plus avantageux, mais encore d’une bonne qualité.

La taille des perles est déterminée par l’origine.  Les huitres Japonaises ‘Akoya’ forment des perles jusqu’à 10 mm.  Les huitres des Mers du Sud ou de Tahiti des perles entre +/- 8 et 22 mm.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DIFFERENTES SORTES DE PERLES :

LES PERLES AKOYA :

Celles-ci sont les perles les plus traditionelles. Elles sont cultivées dans la Pinctada Fucata ou la coquille ‘Akoya’ au Japon.  La couleur varie dans une gamme de blanc, blanc-argenté, blanc-rosé, crème ou gris clair.  La forme est ronde ou baroque.

 

 

 

 

 

 

LES PERLES D’EAU DOUCE : 

Pas toutes les perles sont cultivées dans l’eau de mer.  Il existent aussi des perles d’eau douce, d’origine de moules perlières, et cultivées dans des lacs ou rivières.

Les premières perles d’eau douce étaient d’origine Japonaise et étaient cultivées dans le lac Biwa. Due à la pollution d’eau, cette culture est pratiquement réduite à zéro.

Plus actuelles sont les perles d’eau douce Chinoises.  Elles sont disponibles en formes rondes, semi-rondes, ovales et irrégulières.  Spécifiques sont les formes spéciales, ainsi que les couleurs qui varient entre blanc, rose, rose-orange en violet.

On fait une différence entre des perles d’eau douce avec ou sans noyau.  Avec un noyau introduit on obtient des perles rondes ou semi-rondes.  Sans nucleus, on n’introduit qu’un morceau de tissus pour obtenir des formes plates ou spéciales.  La variété est pratiquement inépuisable et on obtient toujours de nouvelles formes.

Des perles Keshi sont des perles qui sont formées d’une façon naturelle.  Elles ont d’habitude une forme irrégulière et un lustre très profond.  Elles existent d’origine d’eau douce mais également dans toutes les autres sortes de perles.

Une perle d’eau douce récente est la Japonaise ‘Kasumigura’ ou ‘perle Kasumiga’.  Elles ont une gamme de couleurs extraordinaire et profonde.  Néanmoins la culture est très difficile et les perles de bonne qualité sont rares et exclusives.

Un alternatif valable sont les perles Ming,  d’origine Chinoise, seulement disponible depuis quelques années.  Elles ont le même aspect et couleurs que les Kasumiga’s, mais l’offre est en croissance et les qualités améliorent très vite.  Elles sont disponibles en formes baroques et rondes, jusqu’à 17 à 18 mm.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LES PERLES DE TAHITI :

Les plus exotiques sont sans doute les perles de Tahiti, avec une palette de couleurs remarquable.  Elles sont cultivées dans les baies en Polynésie Française, dans la Pinctada Margaratifera ou la ‘Black-lipped Oyster’ (huitre à la lèvre noire).

La gamme de couleurs et de gris-clair, gris-vert jusqu’à aubergine ou noir.  La taille est de +/- 8 mm. Jusqu’à 20 mm.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LES PERLES DES MERS DU SUD :  (SOUTH-SEA PEARLS) :

Les plus prestigieuses et les plus belles des perles.  Les perles des Mers du Sud (ou les South-sea Pearls) sont cultivées de la Pinctada Maxima ou la ‘Silver-lipped Oyster’ (huitre à la lèvre argentée), dans les eaux de l’Ocean Indien ou Pacifique (la Birmanie, l’Indonésie, les Philippines ou l’Australie.  Les Australiennes sont considérées comme de la meilleure qualité.

 

 

 

 

 

 

 

LES PERLES DES MERS DU SUD GOLD :

Une variante des Perles des  Mers du sud sont les Perles Gold.  Elles ont une couleur dorée et un aspect velouté, et sont cultivées dans les Philipines ou en Australie dans la ‘Gold-lipped Oyster’

ENDROITS DE CULTURE DES PERLES :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comme on peut voir, l’offre des perles est très divers, s’adapte à tous les gouts et permets de porter un collier ou de créer un bijoux intemporel, actuel ou classique.

 COULEURS ET QUALITES DES PERLES :

 

La valeur d’une perle ou d’un collier de perles est déterminée par de differents critères.

Tout d’abord il y a la taille qui joue un grand rôle.  Bien évident une perle plus grande est plus couteuse.

A part de la taille, c’est la combinaison de différentrs facteurs qui déterminent la valeur finale de la perle.

Le lustre (l’éclat) et la pureté de la surface sont les plus importants.  Une perle bien brillante et sans impuretés vaut beaucoup plus qu’une perle matte et imparfaite.

Une forme parfaitement ronde ou une goute élégante est beucoup plus rare qu’une perle applatie.

La couleur est très personnelle et dépend en premier lieu de la sorte de perle.